Germains

Les Germains, « Frères », et Germaines, « les Sœurs », sont le nom donné à tous les peuples Germaniques ayant vécu en Germanie (ou Germania).
En fait ce nom leur fut donné par les Romains eux-mêmes et inscrit dans l’Histoire par Tacite. (Cf.) Il faudrait ici un ouvrage entier pour parler des Germains et de leur culture bien plus riche et profonde que leurs surnoms de « Barbares » a pu faire croire, encouragé en cela par d’abord les Romains puis ensuite l’Eglise Catholique.
On trouvera cependant en cette encyclopédie la plupart des peuples composant la Germanie, une partie de leur croyance, leurs Runes aussi et leur philosophie.

A ce titre voir toutes les catégories à leur propos dans le menu de navigation…

On peut simplement ajouter qu’ils sont le peuple du Hof, un peuple dont nous sommes les descendants, nous les Francs, Alamans, Goths, Saxons, Lombards, Marcomans, Frisons, etc. Longtemps oubliés dans les méandres de l’Histoire, sans qu’on sache d’ailleurs vraiment pourquoi, les Germains ont eu l’originalité d’apporter une culture originale et une philosophie particulière propre à une partie de l’Europe…

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Qui étaient les Germains ?

Qui étaient les Germains est sans doute la première question légitime à se poser.
Sans doute faut-il soulever l’incompréhension et le doute que chacun pourrait soulever sur leur existence même. Car en Europe, parler de peuples antiques, c’est évoquer les Grecs évidemment, les Romains essentiellement mais plus paradoxalement les Egyptiens et les Incas pour la Mythologie.
Les Celtes puis les Gaulois restent dans nos imaginaires encore vivants, eux, bien qu’on ait trop tendance à n’en connaître que le folklore ou les fêtes Bretonnes…

Alors pourquoi les Germains restent un mythe si nimbé de brumes inconnues ?
Et pourtant. L’Europe Antique ne doit pas oublier les Celtes qui en sont les légitimes habitants séculaires. Mais elle ne devrait jamais omettre que les Germains en ont été les plus ardents défenseurs !
Les Germains étaient donc des tribus, des migrants et des clans disparates, venus principalement du Nord de l’Europe, poussés par les guerres, la surpopulation et les famines… et sans doute par l’envie d’une exode comme on en a vu dans l’Histoire pour une terre plus accueillante que leur royaume de glace.
Peu à peu ils investirent les terres dépeuplées de l’Europe central puis formèrent des peuples aux caractéristiques propres mais avec une culture commune.
Leur histoire couvre prés d’un millénaire mais c’est entre le Ier et le Ve Siècle que leur influence fut la plus prégnante.

Qu’entends-t-on par Germains ?

Le terme « Germanie » (Germania dans le texte), signifie en Latin, les « Frères » et seraient due à l’origine par un clan Germanique, les Tongres, sans que l’on sache si, inspirant la peur, leurs victimes les auraient ainsi surnommés ou si c’est eux-mêmes qui se seraient présentés à eux par ce surnom. Toujours est-il que cette peuplade en fut peut-être à l’origine. Par extrapolation, on peut dériver du terme « frères », la notion de Clan.

Cet extrait inspiré des écrits de Tacite, un historien Romain ayant le premier décrit avec exactitude ce peuple, rend bien ici ce qui unissait le peuple Germanique.
Mais le plus étonnant c’est que le nom de ces peuples résonne étrangement à nos consciences, ou du moins devraient ne pas laisser indifférent les pays de l’Europe actuel. Ainsi que dire des Francs devenus les Français, les Alamans devenus les Allemands, les Lombards ayant prêtés leur nom à la Lombardie Italienne, les Angles devenus les Anglais… et que dire de noms tels que les Vandales, les Saxons, les Frisons, les Jutes, les Marcomans, les Goths avec les Wisigoths et Ostrogoths, les célèbres Teutons, les Cimbres, etc.
Autant de peuples ayant donné leur racine soit aux noms mêmes de nos origines nationales ou à un imaginaire héroïque, chevaleresque et épique ayant enrichi l’attrait mystérieux du Haut Moyen-Âge ?

Alors pourquoi les Français ne savent plus qu'ils furent Francs, les Bourguignons, Burgondes, les Allemands, Alamans ou les Anglais, Angles ? Comment une telle culture a-t-elle pu ainsi s’évanouir ?
Pourquoi loue-t-on la découverte de l'Amérique par Colomb et non pas celle des Vikings bien avant lui ? Pourquoi fait-on d'Astérix le symbole Gaulois de la résistance à Rome alors que les Germains furent les seuls à mettre un terme à l'expansion de l'Empire Romain en Europe ?
Pourquoi la plupart croient que les Runes sont au mieux de culture Celtique et au pire des "tarots" de charlatans pseudo-divins ? Pourquoi ne parler que des Templiers et non pas des premières valeurs de Chevalerie Teutoniques ?
Pourquoi enfin faire penser que la culture Germanique se borne à des êtres dénudés, Païens, sales et courant dans les bois pour faire des orgies, des sacrifices, des meurtres rituels ou des pillages ? Quant on ne leur prête pas une spiritualité indigène et grotesque, consanguine et amenant au chaos et aux pires extrémismes !

Les Germains étaient-ils des Barbares ?

Toutes ces questions sont souvent balayées dans l’Histoire par le terme de « Barbare ».
Un terme péjoratif, si réducteur et bien trop caricatural doit-on là affirmer. Le peuple de Rome, se disant civilisé et éclairé, est à l’origine de ce mot. Il désignait simplement tout ceux qui ne leur ressemblaient pas !
Et les raids Germains alimentaient facilement cette propagande obscurantiste évidemment. Pourtant vint un jour où ces « Barbares », eux pour la première fois, stoppèrent de manière définitive l’expansion Romaine… et curieusement les « Barbares » devinrent des Germains avec un territoire reconnu par les Romains, la Germanie ! Car plus que les Celtes de Bretagne ou les Scots et Pictes du mur d’Adrien, les Germains stoppèrent non seulement la conquête Romaine mais les menacèrent à leur frontière, les Limes Rhénanes !

Des Barbares donc ? Faut-il s'arrêter à la vision caricaturale des témoignages de leurs ennemis ou aux récits d'historiens si certains parfois de la vérité supérieure de leur propre civilisation ?
Peut-on penser sérieusement qu'un peuple montrerait ses secrets, arts, et riches philosophies au premier étranger de passage ? Rien de moins sûr !
Les "Barbares" Germains n'avaient-ils pas d'éleveurs, de paysans, de guerriers, de marchands, d'explorateurs, de poètes ou même de philosophes ?
Parce qu’ils n’aimaient pas les cités, aimaient une vie libre et parfois nomades, aimaient vivre en symbiose avec la Nature, n’obéissaient pas à un pouvoir centralisé et étatique, peut-on les traiter de « Barbares » ?

Les Germains, une civilisation ?

Alors les Germains des tribus recouverts de peaux de bêtes, prêts aux massacres les plus cruels ?
Jugeons d’abord de cela :
Possédaient-ils…

Une histoire et une Culture ?

Plus qu’une histoire ils étaient le fruit d’un mythe d’une richesse incroyable. Leur panthéon était le « Hof » où Dieux, Déesses, Entités, Démons et êtres fantastiques étaient décrits par des poètes à la culture orale et millénaire, les Scaldes.
Leurs Sagas narraient la genèse du monde des Dieux, des mondes Elémentaires, de celui des Hommes, de l’Histoire des Rois légendaires et d’un bestiaire magique et profond.

Une Philosophie ?

Plus qu’une philosophie, les Germains suivaient un chemin de vie unique en Europe : le Destin, qu’ils appelaient Wyrd. Le Destin était l’ordre de leur univers, seul juge de l’existence de chacun et le seul à qui se soumettre.
Cette philosophie incluant le principe de cause à effet, responsabilisait le Germain non à une entité supérieure mais à sa capacité d’affronter son Destin, quel qu’il soit, de l’accepter bravement et d’en relever le défi même au-delà de leur propre vie. L’important étant la Fortune, la Gloire et l’Honneur.
Une philosophie que l’on pourrait résumer par cet adage latin, Nec Spé Nec Metu, Ni craintes Ni espoirs !

Une spiritualité ?

Autre richesse de ce peuple était son univers spirituel.
Par leur religion polythéiste, tolérante et respectueuse des divinités et croyances de chacun.
Par leur culte des morts, le respect des esprits anciens et la transcendance chamanique de leurs rituels.
Par leur foi en la Nature créatrice, aux Eléments et à leur phénoménologie.
Ainsi la Mère-Nature, fondement de la croyance de tout Germain, était célébrée comme une matrice dont ils étaient les enfants. Pour ce fait ils n’avaient d’églises que les Vés, des autels naturels pour lui rendre honneur. Tout le reste de leur riche panthéon n’étant que milles incarnations de ses états tels les nuages, la foudre, l’eau, les tempêtes, la terre, etc.

Des lois ?

Les Germains, loin de tout droit divin, s’en remettaient à un Droit Coutumier prenant sa source dans leurs Things, les premières assemblées libres, populaires et démocratiques d’Europe ! Leur système judiciaire le plus élaboré restant le Wergeld, un complexe code de réparation des préjudices pour codifier justement les vengeances…

Une écriture ?

Les Germains ayant une culture orale n’écrivaient pas ou peu.
Toutefois ils gravaient des signes et symboles que tous reconnaissaient pour leur caractère sacré, à double sens aussi, leurs érudits s’en servant comme oracles pour lire le Destin. Il s’agit là des Runes, un système complexe alphabétique, le Futhark, d’une richesse et d’une sagesse profonde.
Ainsi ne les gravaient-ils qu’avec mesure et intelligence.

Un ordre militaire ?

Les Germains ne possédaient pas d’armée à l’image des disciplinées légions Romaines.
Toutefois chaque Clan s’en remettait à un Chef propre dont les guerriers suivaient les ordres jusqu’à la mort. Ces chefs gagnaient leur rang par leur mérite et non par leur titre de noblesse. En outre des formations en triangle existaient et des regroupements de bannière sous un commandement commun furent employés.

Une économie ?

Longtemps ignorée car l’or ne les intéressait pas on eut pu penser que les Germains ne vivaient que de troc. Pourtant s’ils délaissaient l’or, c’était là pour le substituer à l’Ambre qu’ils chérissaient. Et une Route de l’Ambre à l’instar de celle de la Soie existait au travers de la Germanie !

Une Politique ?

N’ayant pas de pouvoir organisé, la seule politique était plus celle d’une société tripartite à l’image de ce que serait le Moyen-âge plus tard, c’est à dire une classe servile d’esclaves (pouvant s’affranchir à l’instar des Romains), une classe libre composant la majorité du peuple et une classe de nobles, la plupart du temps des guerriers, chefs et seigneurs.

Une moralité ?

Par moralité entend-t-on ici un modèle social propre et une vision de la famille Germanique.
Pour être plus précis notons là l’une des plus grandes révolutions de cette civilisation où le patriarcat n’était pas la règle et où les femmes étaient à l’égal des hommes ayant en charge leur famille mais qui portaient aussi les armoiries de leurs Clans ! Et au-delà c’était aussi souvent les femmes qui avaient la responsabilité du Culte des morts… ajoutons à cela qu’elles offraient à leur époux les armes de guerre quand elles ne s’en servaient pas parfois elles-même sur les champs de bataille !
D’ailleurs la richesse des Sagas et du Hof Germanique souligne cette égalité entre les Dieux et Déesses mis en évidence par l’incarnation de créatures telles que les Völvas, les Valkyries, les Nornes, etc.
Sans doute que la liberté, dans le contexte antique de cette époque, de la femme est là la preuve la plus pertinente de la civilisation éclairée des Germains !

Tous ces exemples ne peuvent donc nier qu’une réelle Civilisation Germanique ait existé !
Sans doute l’absence d’un pouvoir centralisé, de temples et d’architectures évoluées en pierre, de troupes militaires, de monarchie ou d’empire a pu faire penser le contraire. Pourtant à la lumière de l’originalité de leur mode de pensée, il serait faire preuve d’inculture de ne pas reconnaître, justement, leur culture…

La Dramaturgie Germanique : pourquoi leur mémoire s’est éteinte ?

On pourrait ici douter donc de la civilisation Germanique, celle-ci n’ayant laissé ni reliques, ni vestiges, ni traces dans les mémoires, autres que celles d’envahisseurs Barbares…
Et c’est bien là d’ailleurs le but de ceux ayant œuvré à leur disparition !
Tout d’abord il ne s’agit pas de refaire l’histoire ni même de désigner des coupables et des victimes, il s’agit simplement de rappeler brièvement quelques idées préconçues.

Le drame des Germains réside d’abord en leur propre sein.
Incapable, sans doute par de leur propre volonté d’ailleurs, de former une unité de leurs peuples, les Rois ou Seigneurs locaux Germains connurent le mercenariat. D’ailleurs très vite des clans disparates de Goths, de Vandales, de Francs et de Gépides passèrent des foedus (traités) avec Rome même si ceux-ci étaient souvent trahis ou rompus. Toutefois une large partie des Germains de l’Est apportèrent leur soutien, parfois forcé, à Attila le Hun dans l’espoir d’en faire un Empereur et d’en récolter les dividendes une fois au pouvoir… Mal leur en prit, une partie des mercenaires Germains restant au côté des Romains et de Aetius en particulier en cette même époque d’Attila.
Le reste des peuplades disparates Germaniques, ne prenant pas part à ce conflit, finirent par émigrer un peu partout, interdisant là toute unité possible.
Vint alors la grande bataille d’Attila contre Aetius qui vit la victoire d’Aetius mais l’effondrement de Rome et la déroute d’Attila et de ses troupes. Sans doute la confrontation fratricide de leurs troupes Germaniques, les plus nombreuses sur le champ de bataille, provoqua une perte de sens entre Germains.

Ainsi affaiblis, les deux empires chancelant ouvrirent leurs portes à une religion de conversion venue du Sud.
Cette force d’occupation fut pire pour la civilisation Germanique qu’une force armée car elle soudoya l’âme des seigneurs au lieu de leurs terres.
Ainsi, très vite, beaucoup de ces seigneurs pour conserver leur pouvoir en péril suite à la déroute Germaine acceptèrent les titres, argents et pouvoirs donnés par cette Eglise. Après le drame de leur lutte fratricide, cette perte d’identité fut sans doute la seconde tragédie de ce peuple : les fêtes furent remplacées, les mœurs changées, le Droit Divin instauré, le Polythéisme supplanté par des Saints puis les Runes interdites, les femmes voilées, etc. Bien sûr le peuple Germain aurait du résister mais à cette époque les générations se succédaient trop rapidement et l’oubli gagna très vite les esprits…

Bref, les sombres prophéties que narraient les Scaldes aux Germains finirent donc pas arriver !
Triste réalisation de présages condamnant à l’oubli le peuple conquis par l’occupation des nouveaux arrivants ou convertis. Sans employer de mots trop fort, on peut tout de même avancer qu’un relatif génocide identitaire, coloniale et culturel aura vaincu les âmes là où les glaives Romains n’y parvinrent jamais !
Enfin le dernier bastion Germanique, les Francs, qui aurait pu donner là un espoir à la Germanie fut entièrement converti par la lignée royale les menant, les Mérovingiens… et surtout par leur Roi en cette époque trouble, Clovis, qui abandonna les anciennes croyances pour se convertir au Pape de Rome… la lignée des Rois maudits emporta alors toute résistance Germanique jusqu’à Charlemagne défaisant les derniers Saxons, Frisons et même Vikings !
Ainsi disparu progressivement des mémoires l’identité des Germains…

Se revendiquer Germain ou d’identité Germanique c’est quoi ?

Une question essentielle car celle-ci est souvent propice à tous les amalgames les plus sombres.
D’abord parlons de l’identité Germanique.
Il faut ici être clair et bien spécifier que l’on ne pourra jamais à notre époque croire vivre ce que fut cette civilisation sous peine de tomber dans la caricature, le folklore ou l’extrémisme. Car l’identité Germanique doit se contenir à faire qu’elle ne disparaisse pas d’un point de vue historique.
Il faut ainsi toujours témoigner qu’il n’existe pas qu’une culture en Europe, que les racines de ce continent ont plongé dans une multitude de civilisations : Grecque – Romaine – Celte – Germanique … et Judéo-chrétienne pour le reste !
Car si nul n’a le droit de dire que l’Europe fut de toujours Germanique, nul ne peut en retour prétendre que l’Europe soit Chrétienne non plus !

Prôner la culture Germanique, c’est simplement incarner une autre vision ayant trouvé sa source en Europe.
C’est retrouver un sens en ce monde et, fier de ses origines revendiquées, ne pas les convertir aux autres mais justement accepter les valeurs de chacun et reconnaître la légitimité et l’honneur des racines de tous, quelles que soient ses origines.
Les Germains furent polythéistes, multiculturels, de sangs mêlés et immigrés également.
Cela doit faire taire les extrémistes ou groupes identitaires se réclamant d’une « race » pure ou originelle, n’ayant jamais existée autre que de leurs phantasmes incultes.
Il est très important de montrer, quand on se reconnaît Germain, à chacun qu’on l’accepte dans toutes ses différences comme lui peut accepter les nôtres. C’est là tout le contraire du communautarisme, reconnaître ainsi que d’autres Cultures ayant existé en Europe permettant d’accueillir l’étranger, de le reconnaître à son tour dans ses racines et de le considérer d’égal à égal.

Alors se revendiquer Germain de nos jours ?

Avec à l’idée de cette identité Germanique, qui doit rester propre à chacun, on peut mettre en valeur quelques caractéristiques issues de la culture des Germains, libre étant à chacun, et quel que soit ses origines, de s’en sentir proche ou pas :

- Affirmer et défendre que l’Europe soit d’origine multiculturelle, la civilisation Germanique en étant une composante.
- Embrasser la philosophie du Destin, le Wyrd, qui fut avec les traités de pensées Grecques et celle des Lumières, l’une des plus originales de notre continent, complètement différente en tout cas de la mentalité occidentale actuelle… où on trouve ici des liens avec l’Asie.
- Faire de la femme l’égale de l’homme, une valeur essentielle des Germains, les Dieux et Déesses ayant exactement le même statut dans leur panthéon.
- Ne pas figer le Droit dans un code ou un dogme divin mais dans la liberté de celui coutumier et contractuel. (C’est-à-dire accepter le débat, la remise en question, l’opinion et la liberté individuelle, baser la législation sur les contrats entre partis les passant). De plus les Germains donnaient plus de crédit au « chef » qu’à leur « Roi »… dans le sens que le mérite et la valeur individuelle doivent être préféré au rang ou au titre ou encore au sang.
- Donner crédit au polythéisme et donc tolérer la liberté de culte de chacun, reconnaître les religions et croyances de tout à chacun mais interdire toute conversion et prosélytisme quel qu’il soit.
- Reconnaître la riche et sage culture Scaldique et Runique du peuple Germain en tant que civilisation éclairée. (repousser ainsi les obscurantismes, les inquisitions et donner liberté à l’expression).
- Donner un statut à la Terre, notre planète, la préserver et ne pas en perturber l’environnement.

On pourrait en fait prolonger cette liste.
Disons que ces valeurs fondamentales ne peuvent être écartées quand on parle des Germains.

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